Valérie Trierweiler : être une Gazelle, « quelque chose de mythique »

ZNAIGUI

Étape 4 session 2

Après New York, le désert marocain ! Rien ne semble arrêter Valérie Trierweiler qui compte parmi les 450 femmes de cette deuxième édition du Trek’in Gazelles.

Ambassadrice du Secours populaire français depuis plus de dix ans, Valérie Trierweiler fait partie des 156 Gazelles de cette deuxième session du Trek’in Gazelles 2022. « Tout ce qui touche à l’association me parle et j’aime chaque nouvelle aventure », explique celle qui avait envie depuis longtemps de participer à « quelque chose d’aussi mythique que le Rallye Aïcha des Gazelles ». « C’est quelque chose qu’il faut avoir fait au moins une fois dans sa vie », estime encore la trekkeuse qui revient tout juste du marathon de New York. En tout, en l’espace de deux mois, elle a fait deux treks et deux raids et a déjà d’autres projets pour les mois à venir.

Aventurière dans l’âme, Valérie Trierweiler dit avoir été séduite par « l’ambiance de femmes et de sororité » que propose le Trek’in Gazelles : « là, il y a des femmes qui ont l’âge de mes enfants, qui viennent de tous horizons ». « On est toutes là pour venir chercher quelque chose de personnel dans le collectif », souligne la journaliste, qui réfléchit justement à quoi faire du restant de sa vie. « Ça n’est pas juste un week-end entre copines », insiste encore Valérie Trierweiler qui ajoute : « Quand on marche dans l’effort, c’est propice à l’introspection ».

« Le Trek’in Gazelles, ça n’est pas juste une course »

« Dans le sport, comme dans la vie » la sportive a plusieurs règles : « ne jamais abandonner, ne pas se blesser et se faire plaisir », ce qu’elle fait justement sur le Trek’in Gazelles. « Physiquement je suis en forme et les paysages sont sublimes ». Si elle connaissait le désert, Valérie Trierweiler a découvert « une diversité de paysages » à laquelle elle ne s’attendait pas : « On passe du Far west au Sahara, en passant par la dune du Pyla ». Elle a aussi appris ce qu’était le concept de navigation. « Ici, le temps n’est pas gagnant, c’est quelque chose qu’on a eu du mal à intégrer », détaille la Gazelle. Son conseil aux futures trekkeuses : bien préparer l’aventure, notamment pour ce qui concerne le matériel et bien tester ses chaussures avant de partir. Sur le plan sportif, « il ne faut pas s’épuiser complètement pour tenir quatre jours » et « doser le kilométrage de la journée par rapport à la fatigue ».

« Le Trek’in Gazelles, ça n’est pas juste une course, il y a une cause derrière », souligne enfin Valérie Trierweiler. L’an dernier Maïenga a en effet reversé plus de 30.000 euros au Secours populaire français. Avec les balises pointées lors de la première session, ce sont au moins 16.110 euros qui seront reversés au Secours populaire français auxquels s’ajoutera la somme de la deuxième session. « Ça n’est pas une petite somme », insiste Valérie Trierweiler, qui rappelle que cet argent sert majoritairement à emmener des enfants en vacances qui n’en ont pas l’occasion autrement. « En tant qu’ambassadrice, je vois le bonheur que procure même une seule de ces journées », atteste-t-elle.

ÉDITION 2023

DU 9 AU 14 NOVEMBRE

PARTICIPER

PARTENAIRES